Un tercet parmi des milliards de milliards d’accidents…
Ter Maxima tente de déraciner la théorie de sa langue stricte, moderne, pour la rapporter à sa racine contemplative, processionnaire, et, en ce labyrinthe recouvré du sens, d’exposer des perspectives inhumaines pour une traversée de la crise humaine de notre temps. Ter Maxima se présente de la sorte sous la forme d’un générateur de tercets, haïkus déformés jusque dans la virtualité de leur représentation tridimensionnelle, flottante, là où l’errance s’intériorise et dessine un espace critique de son mouvement, une terre, trois fois très grande, à inhabiter.