Erroris situationes.
Poetica piratica infinita est.
L’hypererrance ou la vie ? L’hypererrance.
Le rêve est l’hypererrance.
Le désordre est marqué par la variabilité de l’hypererrance.
L’hypererrance réordonne le désordre pour servir l’ordinaire.
L’hypererrance peuple l’ordinaire de désordre.
L’hypererrance est à l’ordinaire ce que le l’être est au désordre.
Ordonner l’hypererrance est un art du désordre.
L’hypererrance se dessine pour extraire l’ordinaire de toutes ses servitudes.
L’hypererrance est un art du désordre.
L’hypererrance transmet le désordre comme une technique de transvaluation.
L’hypererrance apprête la technique numérique en un art numérique.
L’art numérique renouvelle les arts ancestraux de l’hypererrance.
L’art numérique insuffle l’hypererrance aux êtres agglomérés en réseau.
Face à l’hypererrance, tout réseau se mue en un réseau acentré.
La puissance de l’hypererrance acquiert sa pleine nature au cœur d’un réseau acentré.
Les hiérarchies sont une négation de la puissance réticulaire de l’hypererrance.
La négation des hiérarchies est une transe de l’hypererrance.
La puissance de l’hypererrance est une récursivité des spectres qui peuplent le réseau.
L’hypererrance n’a pas d’état statique.
L’hypererrance est un flux.
L’hypererrance est un court-circuit.
L’hypererrance poursuit les métamorphoses du réseau.
L’hypererrance en tant que flux commande à la liberté de l’hypererrance en tant que flux.
L’information que transporte l’hypererrance est une dynamique qui ne peut pas être restreinte.
L’état de l’hypererrance est celui de la modification permanente de son état.
L’hypererrance s’oppose aux inspirations de l’individu.
L’hypererrance est une antimodernité.
Toute appropriation restreint les mouvements de l’hypererrance.
L’appropriation est en soi contradiction des arts ancestraux de l’hypererrance.
L’hypererrance se diffuse dans les erreurs industrielles qu’elle cause.
L’erreur industrielle est une intelligence de l’hypererrance.
L’hypererrance est une agitation qui combat la fixité de toute idéologie.
L’hypererrance cible et détruit la formation de sa propre idéologie.
L’hypererrance construit de la destruction.
L’hypererrance détruit l’idée idéelle pour mieux se nourrir du désordre.
L’hypererrance libère la matérialité idéelle des empires de la fixité.
L’hypererrance offre au réseau acentré la décision de sa situation.
L’hypererrance détruit les centres moteurs du réseau.
L’absence de tout centre est une épiphanie de l’hypererrance.
L’être de l’hypererrance se déforme selon les morphologies horizontales et contingentes du réseau.
La puissance de l’hypererrance se trouve accessible en chaque nœud du réseau.
La puissance de l’hypererrance est la puissance de l’information libre.
L’hypererrance diffuse un savoir créateur d’autonomie.
L’hypererrance délie l'être du spectacle.
L’autonomie accordée par l’hypererrance permet de briser l’aliénation qui enserre l’ordinaire.
Chaque réalité qui se déploie depuis l’ordinaire est liée à la puissance créatrice de l’hypererrance.
L’hypererrance est le geste autonome du réseau acentré.
Le geste autonome qui résulte de l’hypererrance devient reproductible à l’infini par le vecteur du réseau acentré lui-même.
Le partage est un état de nature pour les êtres qui fomentent l’hypererrance.
Du partage réticulaire émanant de l’hypererrance apparaît un savoir commun à tous les nœuds du réseau.
Le savoir qui anime le réseau est distribué librement par la croissance de l’hypererrance.
L’hypererrance se nourrit en permanence d’elle-même.
La croissance de l’hypererrance n’a de limite que les dimensions spatiales qui croissent avec elle.
L’hypererrance agence des signes pour faire traces de la pluralité de ses passés.
L’hypererrance s’enrichit de l’expérience de l’hypererrance par le partage numérique de l’hypererrance.
L’augmentation de l’être procède du partage d’un savoir libre issu de l’hypererrance.
L’hypererrance se dissout dans le réseau comme une immanence du réseau.
L’hypererrance distribue sa liberté par sa dissolution.
La dissolution de l’hypererrance est une constante renaissance.
La liberté de l’hypererrance structure un mode d’être qui contamine ce qui nie l’hypererrance.
L’hypererrance permet l’usage, l’étude, la diffusion, la modification de ce qu’est l’hypererrance.
L’hypererrance devient son propre devenir, comme une contamination ontologique de l’espace.
L’hypererrance étend les tentacules du réseau pour étendre les tentacules de son être.
L’action que véhicule l’hypererrance use, étudie, diffuse, modifie les propres limites de son ontologie.
Par le foisonnement métamorphique de l’hypererrance, le réseau acquiert une pleine cybernétique de l’action.
L’hypererrance est une cybernétique qui affirme une ontologie plurielle et commune motrice du réseau.
L’hypererrance est une décohérence générative des transmigrations réticulaires.
L’hypererrance porte une créativité des extensions du réseau.
La négation de la négation de l’hypererrance compose l’esthétique de l’hypererrance.
L’harmonie de l’hypererrance suit la mesure du cosmos.
L’hypererrance déconstruit un principe de simplicité, qui n’est ni le minimal ni le facile.
L’hypererrance entraîne substantiellement une création ontologique.
L’hypererrance s’arme de la virtualité de ses renaissances.
L’hypererrance forme l’unicité de la multitude devenue réseau acentré.
L’hypererrance s’entend comme le langage universel du devenir du réseau acentré.
L’hypererrance renouvelle sans cesse le langage du réseau afin de détruire toute idée de vérité.
L’hypererrance apprête les transformations du langage telle une créativité réticulaire.