À la compagnie des tigres,\
Au dernier cri
De la Horde
Qui gonfle nos veines,\
À cette étrange beauté
Que je lis
Dans les replis du temps,\
Et sur ton front
Qui a cogné les siècles,\
Et même si
Le velours de l’absence
Rogne
Le tout dernier vertige,\
Nous continuerons de chanter
Cette guerre, épique,
Qui n’aura plus de visage.\