
L'Envers nocturne
Une nuit, c’était une nuit d’hiver, j’ai fait un rêve étrange. Je relisais un texte que j’étais en train d’écrire, sur le communisme de Duras, comme si j’étais éveillé et que la vie suivait son cours. Mais je n’étais pas chez moi, dans ma chambre ; j’étais dans une pièce quasiment vide, une chambre d’hôtel peut-être, sur les murs de laquelle défilaient seulement les ombres des nuages. Par la fenêtre, on n’apercevait pas grand-chose d’autre que ces nuages : cette pièce semblait se trouver à un étage élevé d’un grand immeuble, dans une ville inconnue. […]








